Lettre à ma soeur [Campagne L'appel de Cthulhu]
Publié : lun. sept. 10, 2018 8:35 pm
Ma chère Ophélia,
Je suis bien arrivée à Boston, il y a de cela quelques jours. J’ai, de ce fait, pus faire la connaissance du fameux Lord Montgomery qui dirige donc ce club « d’occultisme ». Je dois dire que je ne sais pas à quoi m’attendre. Il ne donne pas beaucoup d’indications sur ce qu’il attend réellement de nous, je t’avouerais donc que je me méfie énormément de lui. Dans ce club, nous sommes quatre au total. En plus de moi, il y a Vanessa Ives, une femme distinguée et apparemment très riche ; un détective du nom de Tex Murphy et enfin James Aldrin, qui semble être un artisan. Tu doit te douter que je ne me sens pas forcément très à l’aise avec eux, même si Vanessa s’avère être une personne particulièrement délicieuse.
Pour notre première enquête, Lord Montgomery nous a demandé de nous rendre dans une maison où d’étranges phénomènes auraient eu lieu. Difficile d’en savoir plus évidemment, mais selon ce que nous avons pus découvrir, les derniers locataires auraient finit à l’asile. Très encourageant.
Les trois autres ont commencés leurs investigations je ne sais où vraiment. Comme d’habitude, tu le sais, mon premier réflexe a été de fouiller un peu la bibliothèque de notre hôte. Comme elle était magnifique ! Si tu la voyais toi aussi ma chère Ophélia, tu ne pourrais t’empêcher d’y passer des heures entières à parcourir ces magnifiques ouvrages aux couvertures de cuir, aux reliures datant parfois du seizième ou dix-septième siècle ! Quand j’eus récupéré quelques informations, on m’amena d’abord aux archives de la ville. Là, ce fut facile pour moi de trouver plus de chose sur le propriétaire et la maison en elle-même. Figure qu’une femme en avait hérité avant de la vendre à un certain Matt Helberg. Sans jamais y vivre. Bon, ce sont des choses qui arrivent mais uniquement dans des villes comme New York.
Ensuite je fus amené à me rendre à la bibliothèque de la ville pour récupérer les archives des journaux. J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir tomber d’abord sur une personne adorable qui m’a parfaitement renseignée, puis de trouver rapidement ce que j’étais venu chercher. Le journal en question m’a permis d’en savoir un peu plus sur les anciens locataires et je suis donc partie, dans un premier temps, seule à l’asile.
Mais imagine-toi que je suis tombée sur la pire peste de ma vie à l’accueil de cet endroit ! Un vrai dindon ! Elle m’a jeté sans complexe, comme si je n’étais qu’une moins que rien. Pour te dire la vérité, je lui aurais bien mis quelques claques pour la réveiller, à cette gourgandine ! J’ai donc décidé de visiter la maison pour y attendre les autres et quelques choses m’a alors surprise : la maison était condamnée, mais les planches avaient été clouées de l’extérieur ! Pis, l’ancien locataire avait la réputation d’être un très bon charpentier, et voilà que ce goujat avait fait un boulot de moins que rien. Si mes souvenirs sont exact, il s’agit de Vittorio Et Gabriela Macario.
Nous sommes donc retournées chez le lord Montgomery où avec les trois autres, nous avons pus mettre les résultats de nos recherches en communs. Et crois-le ou non, nous avons trouvés pratiquement les mêmes informations. Il a été décidé que le lendemain, pendant que les deux hommes iraient à la maison pour enlever les planches qui scellent la maison, je partirais avec Vanessa pour voir de nouveau les anciens locataires à l’asile. Elle a eu la chance de nous obtenir un rendez-vous.
Je te raconterais la suite dans une prochaine lettre. Il se fait tard et le sommeil me guette. Et le domestique m’a demandé de lui amener cette lettre avant l’aube.
Je pense à toi mon Ophélia.
Tendresse,
Lexie.
Je suis bien arrivée à Boston, il y a de cela quelques jours. J’ai, de ce fait, pus faire la connaissance du fameux Lord Montgomery qui dirige donc ce club « d’occultisme ». Je dois dire que je ne sais pas à quoi m’attendre. Il ne donne pas beaucoup d’indications sur ce qu’il attend réellement de nous, je t’avouerais donc que je me méfie énormément de lui. Dans ce club, nous sommes quatre au total. En plus de moi, il y a Vanessa Ives, une femme distinguée et apparemment très riche ; un détective du nom de Tex Murphy et enfin James Aldrin, qui semble être un artisan. Tu doit te douter que je ne me sens pas forcément très à l’aise avec eux, même si Vanessa s’avère être une personne particulièrement délicieuse.
Pour notre première enquête, Lord Montgomery nous a demandé de nous rendre dans une maison où d’étranges phénomènes auraient eu lieu. Difficile d’en savoir plus évidemment, mais selon ce que nous avons pus découvrir, les derniers locataires auraient finit à l’asile. Très encourageant.
Les trois autres ont commencés leurs investigations je ne sais où vraiment. Comme d’habitude, tu le sais, mon premier réflexe a été de fouiller un peu la bibliothèque de notre hôte. Comme elle était magnifique ! Si tu la voyais toi aussi ma chère Ophélia, tu ne pourrais t’empêcher d’y passer des heures entières à parcourir ces magnifiques ouvrages aux couvertures de cuir, aux reliures datant parfois du seizième ou dix-septième siècle ! Quand j’eus récupéré quelques informations, on m’amena d’abord aux archives de la ville. Là, ce fut facile pour moi de trouver plus de chose sur le propriétaire et la maison en elle-même. Figure qu’une femme en avait hérité avant de la vendre à un certain Matt Helberg. Sans jamais y vivre. Bon, ce sont des choses qui arrivent mais uniquement dans des villes comme New York.
Ensuite je fus amené à me rendre à la bibliothèque de la ville pour récupérer les archives des journaux. J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir tomber d’abord sur une personne adorable qui m’a parfaitement renseignée, puis de trouver rapidement ce que j’étais venu chercher. Le journal en question m’a permis d’en savoir un peu plus sur les anciens locataires et je suis donc partie, dans un premier temps, seule à l’asile.
Mais imagine-toi que je suis tombée sur la pire peste de ma vie à l’accueil de cet endroit ! Un vrai dindon ! Elle m’a jeté sans complexe, comme si je n’étais qu’une moins que rien. Pour te dire la vérité, je lui aurais bien mis quelques claques pour la réveiller, à cette gourgandine ! J’ai donc décidé de visiter la maison pour y attendre les autres et quelques choses m’a alors surprise : la maison était condamnée, mais les planches avaient été clouées de l’extérieur ! Pis, l’ancien locataire avait la réputation d’être un très bon charpentier, et voilà que ce goujat avait fait un boulot de moins que rien. Si mes souvenirs sont exact, il s’agit de Vittorio Et Gabriela Macario.
Nous sommes donc retournées chez le lord Montgomery où avec les trois autres, nous avons pus mettre les résultats de nos recherches en communs. Et crois-le ou non, nous avons trouvés pratiquement les mêmes informations. Il a été décidé que le lendemain, pendant que les deux hommes iraient à la maison pour enlever les planches qui scellent la maison, je partirais avec Vanessa pour voir de nouveau les anciens locataires à l’asile. Elle a eu la chance de nous obtenir un rendez-vous.
Je te raconterais la suite dans une prochaine lettre. Il se fait tard et le sommeil me guette. Et le domestique m’a demandé de lui amener cette lettre avant l’aube.
Je pense à toi mon Ophélia.
Tendresse,
Lexie.