[Scion] La Guerre des Grands Anciens

[Teddy_Beer]

Un écossais/roumain armé d’un katana? mmh... Il a du potentiel ce type...

Hey man! Le jamel comedy club c’est là-bas

[Guther]

Les inscriptions sont closes ! Aussi, je vais annoncer les joueurs qui rejoindront ma campagne.

Il s'agit de... *roulement de tambour* :

- Adjib al-Hazred, fils d'Horus, incarné par Grissom
- Katerina Oukov, fille de Týr, incarnée par Faramir
- Pascual Ohtli Hernández, fils de Mixcoatl, incarné par Teddy_Beer
- Agathe, fille de Brigid, incarnée par Heine

Je me limite finalement à 4 joueurs afin de pouvoir, de temps en temps, accueillir un STF.

La création des personnages, se voulant complète et cohérente, prendra une séance (en cas de miracle, on pourra jouer un peu ^^). Je vous donne donc rendez-vous vendredi prochain pour cela.
Je vous demanderai donc de vous fournir en papier crayon, d'imprimer les fiches de personnages que vous trouverez ICI, LA, ELLE EST BELLE et de vous en munir.

Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à m'envoyer un mp, un email, un courrier, un corbeau ou un caillou à travers la fenêtre, je vous y répondrai avec la même délicatesse et dans les plus brefs délais.

[Grissom]

NOM : al-Hazred
Prénom : Adjib
Divinité : Izanami
Date de naissance : 26 avril 1988
Yeux : Bleu
Cheveux : Noir
Armes : Micro uzi, Sceptre d’Osiris.
Signes particuliers : Porte plusieurs tatouages sur les bras et le torse. Son corps porte de nombreuses cicatrices et brûlures, stigmates des différents attentats dont il a été victime.
Description physique : Grand au cheveux court, Adjib a la particularité d’avoir les yeux bleus, ce qui n’est pas commun en Egypte. Il comprendra cependant que son père biologique les avait également. Il porte une barbe parfaitement taillée.
Description morale : A première vue, Adjib semble être quelqu’un de froid et distant. Cependant, les personnes qui le connaissent bien savent parfaitement que c’est une personne avec un grand cœur, et qui fait preuve de beaucoup d’empathie. En revanche, il ne supporte pas l’arrogance et le mensonge. Il est également connu pour être un bon orateur, grâce à son expérience de procureur, et pour ne pas avoir sa langue dans sa poche quand il faut remettre quelqu’un à sa juste place.

Son histoire

Son enfance

Né en avril 1988, Adjib a connu une enfance plutôt tranquille dans les quartiers modestes du Caire. Son père, avocat, était quelqu’un de respecté et d’apprécié dans son quartier. Il avait pour habitude de défendre le « petit peuple ». Sa mère, elle, tenait une pharmacie au cœur même de la capitale égyptienne.

Adjib n’avait pas forcément beaucoup d’amis mais il était très proche de la jeune Samia Ben Messaoud, sa voisine et meilleure amie. Inséparable, ils aimaient beaucoup parcourir la ville à la découverte d’anciens trésor de l’Egypte antique. Ils seront pratiquement toujours dans la même classe, jusqu’au lycée. Si Adjib décide de faire des études pour suivre les traces de son père, Samia, elle, préfère une école de journalisme. Malgré des choix de carrières différentes, ils se voient régulièrement.

La Révolution Egyptienne de 2011

La révolution Egyptienne commence le 25 janvier 2011. Alors âgé de 21 ans et étudiant en droit, le jeune Adjib rêve désormais de devenir procureur. Mais c’est aussi un idéaliste et un révolutionnaire. Quand les manifestations commencent en ville, il se joint à la jeunesse égyptienne avec Samia.
Le soir du 2 février 2011, lors d’une attaque organisée par des partisans du pouvoir en place, Samia est enlevée. Durant des jours, le jeune homme la recherche, en vain. Elle ne sera d’ailleurs jamais retrouvée et déclarée morte deux ans plus tard. Pourtant Adjib est convaincu qu’elle est en vie et il se promet de tout faire pour la retrouver.

Mais d’autres évènements vont survenir et le dévier de son ambition. Des affrontements éclatent de nouveaux. Habitant proche de la Place Tahrir, ces parents sont pris à partie. Les pro-Moubarak reconnaissent son père et le traîne dehors où il sera tabassé. Il mourra de ses blessures une semaine plus tard, sans avoir repris connaissance. Sa mère, elle, est violée et égorgée.

Dévasté, le jeune homme se tourne vers la religion. Jusqu’alors peu pratiquant, il se plonge dans le Coran. Il rencontre Salif El Assad qui lui parle d’une organisation qui prend de plus en plus d’ampleur et lui propose de l’aider dans sa quête. Il lui parle du Djihad qui lui permettrait de retrouver les coupables de la mort de ses parents. Adjib décide d’y réfléchir.

Izanami & le Sceptre d’Osiris

Mais il y a un évènement auquel Adjib n’était pas forcément préparé.
Ce qui suit est une scène directement tirée du journal intime du garçon :

Alors que mon vingt-deuxième anniversaire approché, je fus interrompu dans ma prière par une voix féminine qui me demanda :
« Pourquoi prie-tu autant depuis quelques mois, bin ? »
Surpris, je me suis redressais et fit face à la plus incroyable vision de ma vie : une femme, à la longue chevelure de jais, et portant un habit traditionnel japonais. Mais plusieurs choses me semblaient étrange dans cette vision : elle avait d’étrange yeux dorés, elle portait deux petites faux à la lame en pierre dans chacune de ses mains et un étrange objet décorait sa chevelure. Elle me regardait avec un air inquisitorial et j’en avais la voix coupée. Comment avait-elle pus entrer ici ?
La conversation reprit après quelques minutes :
« Qui êtes-vous ? Et comment êtes-vous entré dans cette pièce ?
- Réponds moi d’abord, et je répondrais à toutes tes questions.
- Je prie le prophète dans l’espoir de trouver mon chemin vers la vérité et la lumière, répondis-je avec empressement.
- Crois-tu que la vérité et la lumière se trouvent dans la destruction et la mort d’innocent ? demanda l’apparition.
J’étais abasourdis. Comment pouvait-elle être au courant ? Je la regardais sans pouvoir soutenir son regard. Je demandais alors :
« Mais qui êtes-vous ?
- Je suis Izanami. Connais-tu ce nom ?
- Vous êtes une divinité japonaise ! M’exclamai-je. Je ne comprends pas…
- Tu es ce que l’on appelle un Scion, un enfant d’un dieu et d’un mortel. Ma progéniture, Adjib. »
Je ne savais pas comment réagir. Elle continua alors en m’expliquant qu’après ma naissance, j’avais été placé chez un couple qui ne pouvait engendrer de descendance et qui offrirait un destin formidable. J’avais beaucoup de mal à accepter ce qu’elle me disait, certain d’être endormis. Elle me dit également qu’elle attendait de moi que je me reprenne en main.
« Mais comment ? Lui ai-je demandé, surpris.
- Ne t’a-t-on pas donné la voix à suivre ? Mustapha, ton père, n’était pas l’exemple parfait à suivre ?
- Bien sûr, lui ai-je dis.
- Tu te dois de rendre le monde meilleur, Adjib. L’Egypte va traverser une grande période de trouble, et tu dois être celui qui montre la voie. »
Ce qu’elle venait de me dire remis en question tout ce pour quoi Salif m’avait aidé. Je ne pensais plus qu’à une chose désormais : finir mon droit, et agir contre la monté de l’extrémisme.

C’est ainsi qu’Adjib découvrit qu’il était le Scion de la déesse Izanami. Pour lui prouver qu’elle était bien divine, elle lui offrit un cadeau inestimable et relevant, pensait-il, des mythes et légendes anciennes : le Sceptre d’Osiris, symbole de la Justice dans l’Antiquité. Elle lui assura qu’avec cet artefact dans les mains, il parviendrait à rendre la justice du juste.

Vie de procureur et traque dans le pays

Le jeune homme repris ces études dès le lendemain. Mais il avait de nouvelles ambitions. Un poste de procureur venait de se libérer. Il ne l’obtint pas mais fut encouragé à finir ses études d’avocat. Ce qu’il fit avec succès. Il fut sur le point d’être engagé dans un cabinet de renom quand on lui proposa un poste de procureur au Caire. A ce poste, il commença sa lutte d’abord contre la corruption. En 2014, au lendemain de la proclamation du Califat de l’EI, Adjib lança une première vague d’arrestation, parmi lesquelles celle de Salif El Assad. Emmené devant les tribunaux, il en fit condamné douze à mort et huit à la prison à vie. Appuyé par le nouveau gouvernement, le jeune procureur s’en prend aux dizaines de milices sévissant dans de nombreuses villes. Sa capacité à obtenir rapidement des aveux de ses suspects attirent l’admiration de ses pairs. Il use souvent de moyens parfaitement légaux, mais n’hésite pas à utiliser la torture.

Rapidement, on comprit que la plupart des personnes arrêtées avaient un lien, de près ou de loin, avec l’organisation des Frères Musulmans.
Sa première affaire l’amena à traîner devant la justice Mohammed Badie, qu’il accuse de vouloir banaliser l’EI. Le 28 avril 2014, Mohammed Badie est condamné à mort en même temps que quelque 700 partisans présumés du président islamiste destitué Mohamed Morsi5. Une autre décision du 15 septembre le condamne à la perpétuité pour « meurtre et incitation à la violence » lors d'une manifestation de 2013.

Le 11 avril 2015, les condamnations à mort de Mohammed Badie ainsi que de 13 autres dirigeants des Frères musulmans prononcées en mars 2015 par le tribunal de Gizeh pour « planification de recours à la force contre l’État » et « incitation au chaos et à la violence », sont confirmées par le grand mufti d'Égypte, dont l'avis est obligatoire (mais non contraignant) en cas de condamnation à mort.

Dans les années qui suivirent, beaucoup de personnes proches de l’organisation ou de l’EI furent arrêtés, interrogé (ou torturé) puis exécuté ou condamné à la prison à vie. Tout cela grâce au travail acharné d’Adjib, dont la réputation allait en grandissant. L’Egypte suivit de loin les évènements mondiaux sans en être touché. Le procureur avait un avis plutôt mitigé, car tout se qui pouvait rabaisser les Etats-Unis était le bienvenue et les nouvelles frontières n’étaient pas pour lui déplaire.

La fuite

La réputation d’Adjib était à son apogée. Cependant, ses ennemis étaient de plus en plus nombreux, et les tentatives de meurtres se multiplièrent. Les Frères Musulmans diffusaient de fausses informations sur le procureur qui fit bientôt l’objet d’une enquête. Après un attentat raté, un proche du président Egyptien le contacta et lui demanda de quitter le pays, aussi bien pour sa sécurité, que pour celle du peuple.

A contre cœur, le jeune homme quitta l’Egypte en 2020. Le gouvernement lui offrit une maison à Thoune, en Suisse, avec vue sur le lac. Il s’y installa et engagea un coach personnel, qui lui apprit différentes techniques de survie et de combat. Il avait l’intention de revenir en Egypte, mais quelque chose l’en empêcha.

En 2022, il reçut une lettre anonyme, accompagnée d’une photo. Sur cette dernière, une jeune femme souriante. Samia. Elle était toujours aussi belle, toujours aussi souriante, les yeux pétillants. Elle était donc en vie. Et Adjib devait la retrouver à tout prix.
Quelques semaines plus tard, il fit la rencontre d’un étrange homme qui lui parla de la possibilité de rejoindre une nouvelle organisation, la Garde Varègue, qui regroupe différents Scions avec un but commun. Il lui expliqua que ses compétences et ses capacités seraient parfaitement utile parmi eux.

La Garde Varègue

Adjib prit quelques jours pour réfléchir. Mais parcourir le monde était certainement un excellent moyen de retrouver son amour de jeunesse. De plus, le gouvernement égyptien l’avait mis en garde sur la présence d’ennemis en terre suisse. L’ancien procureur rejoignit alors la base de la Garde, dans l’Atlantique, où il put se perfectionner au combat, entre autres chose.

Si il y a des corrections à faire n'hésite pas

[Guther]

Il manque trois présentations pour vendredi. Faudrait p'tet songer à se sortir les doigts du *** si vous voulez pouvoir établir vos liens

[Faramir]

NOM : Oukov
Prénom : Katerina
Divinité : Týr
Date de naissance : 26 mars 2002
Signe astrologique : Bélier (feu)
Signe chinois : Cheval (eau)
Yeux : Bleu
Cheveux : Roux
Taille : 1 m 76
Mensuration : Tu veux mourir le hobbit?
Ce qu'elle aime : Voyager
Ce qu'elle n'aime pas : L'administration
Hobby : Courir, rêvasser
Armes : Pistolet, hache scandinave
Signes particuliers : Porte toujours des manches longues, pour ne pas révéler ses nombreuses cicatrices, la compassion la révulse, les regards fuyants la dégoute.
Description physique :

Katerina.jpg

Description morale : Cocktail explosif, un coup enthousiaste et jovial, un coup rêveuse, un coup enragé, il est difficile de prime abord de savoir comment l'aborder ou même de la comprendre. Ses compagnons se rende vite compte que malgré son humeur variable, elle reste fiable en toute situation,et elle défend les siens farouchement.
Son mentor Vladimir, la décrit souvent comme une jeune lionne qui en a trop vue...

Son histoire


Son enfance

Né en mars 2002, Katerina née dans un petit village de Sibérie, a connu une vie rude mais chaleureuse, il était 80 dans ce village, mais il formait une seul famille. C'est le travail de tous qui permettaient les soins de la grande mère Odak. De ses années Katerina en retient une forte ténacité, et une phrase dit par tous les villageois "Priez Dieu, mais continuez à ramer vers la rive."

Ses deux amies d'enfance, Ilya et Anastassiya (généralement appelé Stania) ont pris des chemins différents.

Ilya, l’ainée (27 ans), est devenue avocat en droit international, il aime lutter contre les multinationale qui pille la planète et abuse les population locale.

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C'est lui qui a appris a Katerina (Katia) et à Stania, la pèche, l'escalade et les rudiment du combat à main nue.

Si des Svolochs vous prennent pour de simples plantes à cueillir, voici quelque coups bien placé qui devrait les faire changer d'avis.

Anastassiya, 22 ans, est devenue policière. De nature assez superstitieuse, elle a vaincue ses peur en étudiant l'origine de ses mythes (ex: les ogres sont inspiré des huns), et en faisant un métier assez terre à terre. Maintenant elle trouve le monde désenchanté, elle appelle souvent Katia pour qu'elle lui parle de ses voyages.

La guerre mondiale
Katia s'engagea dès le début du conflit en mentant sur son age.
Elle combattit dans plusieurs unités, souvent chargé de taches subalternes, après tout pour beaucoup la guerre n'a pas de place pour une gamine.
De là elle finit par entendre des rumeurs sur la compagnie de la griffe sanglante. Une compagnie de héros faisant de nombreux raids risqué afin de soit obtenir de provision pour tous, soit brisé l'encerclement de troupes alliés. La 7ème compagnie de la 37ème brigade interarmes a obtenue ce surnom du fait qu'alors qu'ils n'avait plus de combustibles pour leur chars, plus de munitions pour leurs armes ils ont continué le combat à l'arme blanche et à mains nue formant un dernier carrés dans les bois de Tongass. Lorsque les renforts arrivèrent, l'ennemie c'était retiré, et de la brume glaciale une silhouette émergea... Les soldats la braquèrent, leur supérieur reconnut l'uniforme de sous officier de l'empire russe, il fit signe de
baisser les armes. L'officier russe était une femme, au visage mignon, au regard froid, de sa main perlait du sang, le sien mais pas que... Une légende était née. Les brésiliens lui donnerais un surnom "La Llorona Russe", un fantôme hantant les troupes du brésil, dont l'apparition était signe de malheur.

Les pertes régulières de cette compagnie, permit à Katia d'y rentrer rapidement. La vie y était rude, tous les jours étaient un jour de deuil, mais ils formaient une famille, chaque perte augmentait leur détermination à mieux se coordonner, chaque membre prêt à se sacrifier pour sauver le plus grand nombre. Katia a commencé dans la 3eme escouade d'assaut, unité réservé aux jeunes recrues de tête brulé mené par un vétéran le sergent Vassili Petrov. Après y avoir survécu à une durée de 3 mois, elle fut muté à la 7eme escouade de reconnaissance commandé par la Caporal Baltacha.
Katia fut décoré pour acte héroïque lors de la prise de Whitehorse, s'étant infiltré dans la ville, elle a réussit à saboter 4 artillerie, et à désorganiser les défenses en libérant simultanément à l'assaut 200 prisonniers. Elle fut suite à celas muté à l'unité personnelle de la Llorona Russe. Blessé sévèrement au abord de Edmonton dans l'Alberta, elle refusa d'être envoyé à l’arrière et fut assigné 17 unité mobile en tant que sergent pilote de chars lourd. Elle finit sous-lieutenant, bras droit de son idole, le seul inconvénient était qu'elle devait participer au clips de propagandes.

Fin de la guerre

La guerre prit fin, la Llorona Russe ou plutôt le lieutenant Hohenrichter disparut de la circulations, n'apparaissant seulement pour quelques cérémonies officielles. Katia fut assigné à Anchorage en Alaska officiellement occupé par la Russie.
Le gouverneur corrompue laissé la mafia kidnappait des femmes pour les revendre ailleurs contre des payements en liquide et de temps en temps des assistantes mignonnes mais ayant le regard vide. Le gouverneur organisa des orgies, trouva un accord avec le général de brigade Bedrov.
Frappé par cette injustice, elle ne savait pas quoi faire, elle devait agir, mais cela était en désaccord au serment qu'elle fit lorsqu'elle était entrée dans l'armée.
Une nuit elle fit un rêve, elle était assise devant un feu de camps, disposé en plein milieu d'une clairière enneigé, des aurores boréales illuminé le ciel.
Une homme immense en armure viking avec une cape en lambeaux, une épée était planté devant lui.

-Tu as l'air soucieuse jeune fille...
-Je rêve là, vous êtes qui?!
-Un concept, un symbole, je dirige l'assemblée du thing, je suis bien des choses mon enfant, et demain je serais pour toi un rêve.
-Hein...
-Il nous reste peu de temps, il fit signe à Katia de se taire, il se dégageait de ses yeux une sagesse ancestrale et un magnétisme impériale,
impressionné elle fit silence.
-Il fut un temps, où un loup immense menaçait les terres de Midgard entre autres, les puissants de ce monde décidèrent de l'enchainer. L'animal était fier, aussi il suffit de le mettre au défit de briser ses chaines. L'animal accepta à condition que que si il échoue, qu'on le libère. Pour avoir une garantie il demanda à ce qu'un brave mette sa main dans sa gueule pendant l'épreuve. L'animal ne put se libérer, les puissants ne l'ont pas libéré, et le brave perdit sa main. Le brave savait qu'il allait la perdre...La morale de cette histoire est tu peux rompre une promesse, si tu dois agir pour la bonne cause mais tu en payeras le prix... dit il en montrant son bras sans main. Un hurlement bestial s'entendit au loin.
Katia se réveilla en sursaut

Elle tua le général de brigade, et fit passer sa mort pour un suicide.Suite à cela elle quitta l'armée dégouté.
Alors qu'elle s’apprêtait à tuer le gouverneur, elle fut devancer par un agent du FSB, un certain Vladimir Gortchev.
N'ayant plus rien à faire, elle fut réceptionniste dans un hôtel miteux à Chabarovsk, en rêvassant de la guerre, une époque où elle se sentait vivante, et où elle avait un but. Lasse et déprimé, elle quitta tous pour retrouver sa supérieur la lieutenante Hohenrichter. Elle voyagea dans de nombreuse provinces de l'Empire Russe, sans en trouvé de traces, elle décida de se renseigné sur sa famille. Elle apprit que ses parents étaient morts récemment.
Elle avait un frère, officiellement mort au début de la guerre, elle reconnut sur la photo l'agent du FSB. Aussi elle suivit sa piste en dans de multiples pays, le Brésil, le Japon, l'Inde, l'Angleterre, la Yougoslavie. A chaque fois une mort étrange survenait et l'agent disparaissait.
Puis ce ne fut plus des meurtres mais mais des attentats, à Dublin, à Paris, à Jérusalem. Puis une foire d’événement surnaturel en Iran.
C'est lors d'une intervention en suisse où Vladimir neutralisait des assassins, que Katia put enfin lui parler. Pour avoir réussi à l’accoster, il lui offrit sa première relique, une montre à gousset renfermant de mystérieux pouvoirs. Il lui proposa un marché, le suivre pendant plusieurs années afin qu'elle soit prête à rentrer dans l'organisation où il travaille. Ensuite dès qu'elle gagnera une faveur auprès d'Odin, il lui lui raconterais tout à propos de sa sœur.

Garde Varègue

Ca fait 8 mois qu'elle est entré dans la garde, au vue de son passif,elle fut envoyé directement sur le terrain.

SUITE SELON LE BG DES AUTRES^^

[Heine]

Prénom : Agatha.
Nom : Wolff.
Age : 24 ans.
Parent divin : Brigid.
Nationalité : Irlandaise.
Physique : je n'arrive pas à insérer mon image mais vous la verrez plus tard Dans l'idée rousse aux yeux bleus, de taille et de corpulence moyenne.
Arme : armes blanches en général surtout couteau et poing américain, arme à feu au besoin.

Enfance :

Agatha est originaire de Cushendall, un petit village de pêcheurs situé au Nord de l'Irlande. Elle y a passé toute son enfance et son adolescence. Sa famille était plutôt pauvre, elle et ses deux frères devaient donc passer beaucoup de temps à aider leurs parents à faire survivre leur commerce, une coutellerie tenue par la famille depuis plusieurs générations et qui malheureusement marchait de moins en moins.
Elle appris donc sur le tas tout ce qu'une coutelière se devait de savoir et, comme les occupations pour une adolescente faisaient cruellement défaut dans son petit village elle passa une grande partie de son temps libre à confectionner des couteaux puis à s'entraîner à leur maniement. Elle développa ainsi un véritable goût pour les armes blanches et acquis petit à petit un certain talent à leur maniement.

Départ dans l'armée :

Agatha ne pouvait se résoudre à laisser en difficulté ses parents cependant cette vie ne lui convenait pas tout à fait aussi, l'année de ses 19 ans, lorsque la 3ième guerre mondiale éclata elle jugea qu'il s'agissait pour elle du moment opportun pour partir et elle s'engagea - avec moins de culpabilité que si le contexte eu été différent - dans l'armée.
Pendant les 3 années que dura la guerre, elle fut assignée dans différents hôpitaux militaires où elle fut formée et acquis le statut d'infirmière.

La garde varègue :

La guerre finie, elle s'apprêtait à retourner auprès de sa famille lorsque la déesse Brigid lui apparut et lui dévoila sa nature de Scion. Elle lui proposa alors de rejoindre la garde Varègue où elle pourra continuer à servir la paix et l'intérêt des siens. Agatha ne tenant pas particulièrement à retrouver son ancienne vie et désirant continuer à être utile aux autres, elle accepta cette proposition avec enthousiasme. Depuis, cela fait 2 ans qu'elle évolue au sein de la Garde, elle affectionne toujours autant le combat à l'arme blanche mais elle a aussi appris l'usage des armes à feu. Elle a également passé beaucoup de temps pour poursuivre sa formation médicale et est désormais médecin militaire.

James :

Malgré un tempérament assez taciturne, Agatha se lia d'amitié avec quelques personnes au cours de la guerre. Celle dont elle devint rapidement la plus proche était un jeune informaticien/ électronicien nommé James ; bien qu'elle ne s'y connaissait guère en la matière, il lui était clair qu'il était brillant et qu'il avait délibérément choisit de mettre de côté une carrière qui semblait déjà prometteuse pour s'engager et devenir militaire. Il était Irlandais comme elle, cela avait contribué à les rapprocher car ils partageaient parfois le même mal du pays.
Quand les conflits prirent enfin fin, il quitta l'armée et rentra en Irlande où repris le cours de ses activités initiales. Lui et Agatha restèrent cependant en contact et le jeune homme lui répéta maintes fois de ne pas hésiter à faire appel à lui en cas de besoin. Bien sur, il ignorait qu'elle était une Scion et à quel organisme elle appartenait néanmoins il pensait qu'elle était toujours rattachée à l'armée et que ses relations et ses compétences pourraient peut être un jour être utiles à son amie.

Une petite particularité :

Un incident fâcheux avait du se produire il y 2 ans, lorsque Agatha fût '' visitée '' par Brigid. En effet, force eu été de constater que depuis la visite de la déesse, quelque chose avait changé. Cela commença par le sommeil : Agatha l'avait toujours eu facile et réparateur pourtant, depuis ce jour elle se levait le matin de plus en plus épuisée. Puis ce furent les rêves, qui se peuplèrent de créatures inquiétantes et enflammées .. cela n'aurait pas été un si grand problème si les choses s'étaient arrêtées là mais la situation dégénéra une nuit, quand elle fût retrouvée en train de mettre le feu à leur campement .. ses yeux étaient devenus rouges et elle était méconnaissable ; on du l'en empêcher par la force. Le matin suivant, lorsqu'elle se réveilla sans aucun souvenir de ces événements le verdict tomba : elle devait être possédée par un esprit du feu ou quelque chose de ce goût là et compte tenu des proportions que prenait la situation il était exclu qu'elle continue d'exercer ainsi au sein de la garde Varègue. On essaya alors toute sorte de traitement pour résoudre le problème, du plus classique (les soit disant ''exorcistes'') au plus improbable (diverses cures alimentaires farfelues) mais rien n'y fit.
Une nuit, Agatha reçue à nouveau la visite de Brigid, la déesse était très irritée qu'une scion comme elle ne se rende pas compte de sa chance et ne tire pas partit de ce qu'elle considérait être un cadeau et non une malédiction..
A force d'essais, Agatha parvint à solutionner ce qui pour elle restait un problème grâce à un dérivé de Valériane. Contrairement à tous les somnifères qu'elle avait pu essayer, celui ci lui permettait de passer des nuits normales et d'être beaucoup moins importunée par l'esprit qui semblait ainsi se tenir à carreaux. Suite à ces événements Agatha finit par en devenir dépendante, forcée d'en augmenter les doses petit à petit pour maintenir les effets. Deux interrogations ne cessaient depuis de la hanter : qu'avait voulu lui faire comprendre la déesse ? Et qu'elle était la raison de sa possession par un tel être, que pouvait il vouloir ?

Voilà j'espère que ça ira !

[Teddy_Beer]

Nom: Hernández
Prénom: Pascual Ohtli
Âge: 20 ans
Nationalité: Mexicain
Divinité: Mixcoatl
Physique: Grand, brun et mince, la peau tannée par le soleil. En public, il cache ses yeux vert à pupille fendu comme ceux d’un chat derrière des lunettes noires.



Née le 15 Avril 2005, en banlieue de Tampico, Pascual était l’aîné de la famille. Il quitta l’école à 12 ans pour travailler avec son père dans une usine de chapeau traditionnel mexicain vendus ensuite aux touristes.
Pascual espérait que cela permettrait à ses trois sœurs d’entreprendre des études alors que sa famille n’en avait pas les moyens. Il ne prêtait alors aucune attention aux informations qui annonçait la conquête pays par pays de l’amérique du sud par le Brésil...

En 2019 alors que les armées impériales brésiliennes envahissaient le Mexique, Pascual alors âgé de 14 ans fuyait le pays avec sa mère et ses petites sœurs, pendant que son père prenait les armes pour défendre le pays. Ils se retrouvèrent pris au piège par le blocus américain pendant que les forces brésiliennes avançaient. Les réfugiés se regroupèrent en formant un camp devant la frontière. Le jeune Pascual vît sa famille se faire massacrée par des hommes et des démons, il survécut de justesse au carnage en se cachant parmi les cadavres.

Il finit par passer au états-unis et pris part aux combats au côté des résistants américains, en apportant des caisses de munitions au front. Pascual fût blessé durant une bataille et sauvé par un vieil homme qui se présenta comme étant Mixcoatl, le dieu de la chasse de son pays, son père lui racontait que ce dieu refusait les sacrifices humains et comment Huitzilopochtli et Tezcatlipoca ont tenté de l’assassiner. Il expliqua au garçon qu’il était un de ses descendants et que son destin était de participer à un autre combat.
Une équipe de scions participants à la bataille senti la présence divine et trouva l’adolescent blessé, ils le ramenèrent à des médecins.

Une fois soigné, Pascual suivit les scions de loin, en restant en marge des combats, passant ses journées à s’entraîner. Après la victoire de la coalition il gagna l’asie, suivant les indications de son dieu, il traqua deux anciens officiers brésiliens qui avait donné des informations sur leurs supérieurs pour éviter les procès qui auraient dû les punir pour leurs actes.
Le premier ne se doutait de rien, coulant des jours heureux sur les plages thaïlandaises seulement une année après la guerre. Pascual le tua de ses mains, ayant repéré que sa victime allait plonger au petit matin, il fit passer son premier assassinat pour une noyade.
Le second ne pouvait dormir tranquille, il vivait à Shanghai, toujours protégé par des gardes du corps. Pascual surveilla sa cible pendant des semaines pour trouver le meilleur moment, l’angle de tir qui lui permettrait de s’enfuir discrètement, et le tua d’un tir longue distance. Son seul regret, le monstre qu’il venait d’abattre n’avait rien vu venir et certainement rien sentit.

Suite à cela Pascual fût approché par des scions, il reconnut l’équipe qui l’avait aidé quelques années plus tôt. Ils lui proposèrent de rejoindre la Garde Varègue, se qu’il fît sans hésitation. Pascual demanda à être appelé Ohtli, le prénom de son père. Il accomplît plusieurs missions d’espionnage aux quatres coins du globe pour la garde, tout en continuant de s’entraîner au tir de précision et à différentes techniques de survie et de chasse.

[Vector]

Quand tu es en retard d'un mois... oups
Ils ont passé où les Devas ?

[Guther]

En Inde comme toujours ^^

[Vector]

En Inde comme toujours ^^

Nan, je voulais dire que pourquoi ils sont indisponibles dant cette campagne?

[Guther]

Probablement parce que je les ai oublié

[Faramir]

Un petit post qui vous sera très utile: les COÛTS DES AMELIORATIONS EN POINTS D'XP

Augmentation de traits :
- Attribut = niveau suivant x4
- Compétence = nouveau niveau x2 (-1 si associé au parent divin)
- Vertu = niveau suivant x3
- Volonté = niveau suivant x2
- Légende = niveau suivant x8
- Attribut épique = niveau suivant x5 (x4 si associé au parent divin)
- Don du panthéon = niveau suivant x4
- Nouveau don = niveau du don x5 (x4 si associé au parent divin)

Nouveau trait:
- Compétence = 3
- Attribut épique = 10 (8 si associé au parent divin)
- Talent = 5
- Prophétie/ Mystère = niveau x5 (x4 si associé au parent divin)
- Don du panthéon = 3
- Don = 4 (3 si associé au parent divin)
- Sort = niveau du sort x5 (x4 si Magie associée au parent divin)

Investissez!

[Guther]

Etant plus disponible, si vous souhaitez que nous rattrapions notre retard, nous pouvons organiser des parties en semaine pour faire progresser la campagne.

N'hésitez pas à me donner vos disponibilités

[Grissom]

Moi mes dispos c'est le soir après 17h30 jusqu'au 9 juillet

[Guther]

Si on reprend vendredi prochain, ça vous convient ?