Une salle, remplie d'ordinateurs. Du sang est visible un peu partout. Vous êtes un petit groupe à vous réveiller. Vous ne vous souvenez de pas grand chose sur les dernières 48 heures. Tout ce que vous savez, c'est que vous avez vu cette scène. Une femme entre en trombe dans la pièce, un fusil d'assaut en main. Elle lance.Je me souviens encore de ce jour. Ce fameux jour. Cet inoubliable 2 décembre 1852. Paris était en liesse. Que dis-je, la France était en liesse. Des cortèges de paysans, d'ouvriers, d'artisans... étaient venus de tout le pays pour célébrer ce jour. Les cris résonnaient partout dans les rues, et de nombreuses Marseillaises étaient entonnées dans chaque boulevard.
"Vive l'Empereur ! Vive la France ! Vive l'Empire !"
Qui aurait pu croire qu'à notre époque, le destin des Français se trouve une fois encore entre les mains d'un Bonaparte ?
Dans la foule, nous avancions, portés par celle-ci. Ma main se porta vers mon kukri, tout droit ramené des Indes. Mes frères me rejoignirent et, à nous quatre, nous fendîmes la marée humaine qui s'avançaient vers l'Arc de Triomphe, ou l'Empereur devait passer avec son escorte. Le Grand Maître a été formel. L'Empire ne doit pas revenir.
En arrivant à proximité du monument, nous nous répartîmes à distance raisonnable afin de couvrir une zone plus large. Les soldats accompagnant l'usurpateur s'avançaient, défilant fièrement. Et je le vis. Cet homme, ce... tyran ! Il était fier de son coup d'état. Il pavanait devant tous. Je jetai un oeil à ma gauche, mais ne pus voir mon acolyte, pourtant là quelques secondes plus tôt. A ma droite aussi, il avait disparu. Un subtil mouvement dans la foule attira mon attention. Nous sommes découvert ! Il faut agir. Tant pis. Mourir pour la cause. Je m'avance, sortant mon pistolet et le pointant vers Bonaparte. Les soldats me voient. Ils se mettent en position pour m'intercepter. Un coup de feu retentit. Je n'ai pas le temps d'appuyer sur la détente que je sens un liquide se répandre le long de mon manteau. Je regarde la plaie, puis lève les yeux vers l'Arc et y voit le reflet d'un verre, pointé sur moi. Que...
- Bon ben pour la discrétion, c'est raté. Ok Pasteur, je suis dans la place. Je récupère les colis et je dégage.
- Très bien Impératrice. Mais dépêche toi. Je doute que les Assassins ne te laissent beaucoup de temps. Offenbach t'attend.
- Bien reçu
La jeune femme se tourne vers vous.
- Désolé, mais je ferai les présentations plus tard. Venez avec moi, si vous voulez vivre !... J'ai toujours voulu dire ça.
Vous vous regardez, circonspects, puis des tirs retentissent non loin. Paniqués, à peine vêtus de quelques vêtements d'hôpitaux, vous vous engagez derrière la femme qui vous guide à travers des couloirs sombres jusqu'à un van qui, dès que vous avez tous embarqué, démarre en trombe et vous emmène loin de cette sombre caverne.
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Bonjour à tous.
J'ai mis la main sur un jeu amateur sur la saga Assassin's Creed. Etant un amateur des jeux, je n'ai pas pu résister aussi, je me le suis procuré (gratos en plus, et légalement ^^). Aussi j'aimerais proposer une petite partie test avec quelques volontaires un jour dans la semaine, avec création des personnages et tout. Cette partie test pourra déboucher sur une campagne plus ou moins longue avec possibilité de partir en Uchronie. J'ouvre à 4 joueurs cette fois-ci, que je choisirais parfaitement arbitrairement comme d'habitude avec moi ^^
N'oubliez pas. Rien n'est vrai. Tout est permis.
