[Delta Green] Perspective démente
Publié : jeu. janv. 19, 2023 9:22 pm
Mardi 17 novembre 1998
Alors que Teresa, Edward et Kate vaquent à leurs occupations, ils sont contactés par le Delta Green. On leur donne rendez-vous à l’aéroport Washington National Ronald Reagan, salle de réunion 9S.
Une fois sur place, une femme leur donne un grade et explique la mission. Ils feront partie de la cellule C et auront les identités suivantes pour la mission :
- Kate sera Coline Furrow
- Teresa sera Charline Hernandez
- Edward sera Clint Barrington
Elle explique que la cellule E était dépêchée à la suite de la disparition de Roger Graham qui tenait un blog sur un lieu particulier présentant une architecture impossible. Ce lieu n’est pas reconnaissable sur les photos et ils n’ont plus de contact avec la cellule E depuis 2 jours. Ils sont chargés de fouiller l’appartement de Graham afin de vérifier si la présence d’une aberration est confirmée, puis détruire toutes les preuves et éléments aberrants.
Elle leur fournit les éléments suivants :
- Une réservation d’hôtel à New York sur Park Avenue, dans Little Italy au nom d’Ethan Emeric.
- Adresse de Roger Graham
- Un plan de New York
- Des captures d’écran du site de Graham
Les agents ont décidé d’aller à l’appartement de Graham qui se trouve dans le Bronx en taxi. Après que Kate a essayé de faire du charme à un jeune du quartier avec comme résultat la fuite de toute personne dans la rue, ils s’aperçoivent que la porte de l’appartement est fracassée et que ce dernier a été fouillé. Après quelques recherches, ils trouvent la note suivante :
« Ils regardent les lignes, mais ne comprennent pas le message ».
En continuant de fouiller, ils finissent par tomber sur une petite vieille du nom de Madame Hurtigane qui leur explique que la police était très intéressée par le vieux tunnel mais qu’elle ne sait pas où il se trouve.
L’équipe va ensuite à l’hôtel, le personnel ne posant pas de questions et leur donnant la clef de la chambre.
Ils retrouvent alors l’unité centrale de Graham en pièces, des vêtements et deux boîtes de cartouches qu’ils vont récupérer ainsi qu’une note :
« Chaque visite est différente »
« Les silhouettes m’ont vu »
« J’ai senti cette odeur d’agrumes et de gingembre… »
« A demain Ange Malin »
« Les couloirs changent, mais le mystère reste »
« Ce chat étrange me fixe, son regard me perce »
« Je dois aller au fond, tenter de revoir les rues… »
« Quand je vais plus bas, je remonte en haut »
« Une simple porte amène à tant de merveilles »
« Je dois éviter ce fantôme pâle. Son visage figé me poursuit ! »
Ils découvrent ensuite un système de surveillance qui prouve que l’équipe E était là, il y a deux jours et une note qui indique une adresse à Brooklyn qui les oriente vers le canal.
Ils décident de rentrer à l’hôtel et de contacter le Delta Green pour leur faire un rapport avant de se rendre dans le mystérieux tunnel.
Ils arrivent face à la berge où est située l’entrée de l’égout. Au sol, une trace brunâtre, vraisemblablement du sang séché. Cela date de plus de deux jours. Il y a aussi une douille de 9 mm.
Au-dessus de l’entrée des égoût, quelque chose semble avoir été effacé et les barreaux qui composent la porte ont étaient à moitié défoncé. Les agents entrent dans le tunnel et remarque de nombreux tagues. Certains indiquent ACAB, d’autres des poèmes et d’autres des insultes. Au bout d’un moment il tombe sur un squat abandonné en trois petites parties, où sont entassés des affaires qui semblent être moisies. Ils trouvent une tache de sang séché au sol, près de ce qui semble être un petit couloir dissimulé derrière le lieu.
Il y a une échelle qui descend vers une cage d’escalier en métal éclairé de néons verts. Une fois arrivées en bas, des traces de sang maculent le sol et un film plastique estampillé FBI. L’architecture semble ancienne ici. En avançant, l’ambiance devient pesante et les murs changent régulièrement de texture. Plus loin les murs sont criblés d’impacts de balles. Après analyse, les agents déterminent que ce sont des balles de Kalachnikov. Une fresque représentant une tête de mort, une citation de Shakespeare « Nous sommes de l’étoffe dont les songes sont faits » les lettres M-a-d-a, une sorte de clé, un visage blanc ressemblant à Ghostface, des inscriptions indéchiffrables et des éclaboussures douteuses. Au vu du style, Teresa pense que l’œuvre a été faite par une seule personne.
En avançant plus loin, le couloir cesse d’être régulier. Le sens des murs, du plafond et du sol ne semble pas être lié à la logique, le style des murs passe de divers matériaux et thèmes sans logique et sans transition. Le plafond alterne entre sa taille classique de 3-4 mètres à des dimensions de plus de 10 mètres, pour parfois redescendre, au point de devoir s’accroupir pour avancer. Les impacts de balles sont partout et il y a même des traces d’un incendie.
Au bout du tunnel, il y a une pièce composée de multiples escaliers partant du sol pour arriver sur les murs et repartir au plafond de manière aléatoire. Il y a une sorte de piédestal en son centre, avec une surface plane légèrement inclinée d’où semble émaner un vide. Une fois, arrivés en ces lieux les agents commencent à avoir une irrépressible envie de comblé le vide du piédestal ce qui les perturbent beaucoup. Edward se met recroquevillé par terre, tandis que ses deux collègues veulent sortir de là. Non sans mal, les agents arrivent à remonter et sortir de l’obsédant tunnel. Une fois dehors ils commencèrent à se sentir mieux.
Alors qu’ils prennent un taxi pour aller se reposer à l’hôtel, ils sont arrêtés sur la route par deux Mercedes noires aux vitres teintées. Les agents sortent de la voiture et se retrouvent face d’une dizaine de personnes armées de Kalachnikovs qui leur demande de les suivre très gentiment.
Il arrive devant un ancien théâtre abandonné nommer le Loews King’s Theater. Les hommes armés les guident jusqu’à la scène où se trouve un bureau derrière lequel est assis un homme assez imposant portant un costume blanc. Il a une barbe grisonnante et un regard bleu acier. Des tatouages dépassent de son col et de ses manches. Les gardes font asseoir les agents et au bout de quelques minutes de silence. L’homme en costume comme à s’exprime en anglais avec un fort accent russe :
« Vous êtes en train d’enquêter sur la disparition de Monsieur Graham ? Vous faites partis du FBI ? »
« Avez-vous connaissance de l’endroit où se trouvent vos collègues ? »
« Ecoutez, je suis un simple homme d’affaires. Je ne cherche pas à faire de vagues, encore moins avec le gouvernement. Vous avez accueilli mon peuple, et nous savons respecter cela. Brooklyn est un lieu où nous investissons beaucoup. »
« Et justement, en tant qu’homme d’affaires, j’ai un deal avec vos collègues. Mais, aujourd’hui, malgrè mes effort, le deal n’a pas été satisfait. Et vos collègues se retrouvent endettés, or, pour nous, les dettes sont transmises à la famille. Et quelle plus grande famille que le FBI… ? »
« Voici un nouveau deal. Je vais vous envoyer dans un endroit. Là-bas, vous allez devoir trouver un objet très particulier, et le ramener. Celui-ci est extrêmement dangereux, vos collègues sont allés sur place, mais depuis, aucune nouvelle. L’endroit est surveillé et personne ne les a vu sortir. »
« Pour vous aider, voici une petite histoire. Vos collègues sont partis à la recherche de M.Graham, et sont tombés sur… l’égout. Cet égout a été nettoyé par mes hommes, car il avait été Sali par des…sous-hommes. Des hommes souillés par quelque chose. Nous avons donc nettoyé ce lieu. Mais mes hommes ont trouvé des objets de valeur. Ce qui est trouvé est gardé, c’est notre loi. L’un des objets est celui que vous devez retrouver. Cet objet n’était pas encore scellé dans une boîte. »
« Il a souillé plusieurs de mes hommes, les rendant fous et dangereux. Deux d’entre eux ont fui, et se sont cachés dans le lieu que vous allez visiter. Mes hommes ne veulent pas aller là-bas. Ils sont superstitieux, et ont renommé le lieu « Bezumiye » : la folie. Mais mon fils, mon petit Anton, lui, n’est pas superstitieux, et est entré dans la folie. Il n’est pas revenu. »
« C’est pour cela que vos collègues y sont allés…Et ne sont pas revenus. C’est là, que vous trouverez Graham et… comment vos collègues ont dit, déjà… Ah oui… « l’aberration. » la boîte est en bois, Orange, avec un dragon dessus. Très reconnaissable, comme celui sur mon cou. Quoi qu’il arrive, il ne faut jamais ouvrir la boîte. »
Il vous donne une adresse, située à un croisement, perdu dans Brooklyn. C’est un ancien commissariat abandonné depuis longtemps. Vous retournez à l’hôtel pour vous reposer.
Alors que Teresa, Edward et Kate vaquent à leurs occupations, ils sont contactés par le Delta Green. On leur donne rendez-vous à l’aéroport Washington National Ronald Reagan, salle de réunion 9S.
Une fois sur place, une femme leur donne un grade et explique la mission. Ils feront partie de la cellule C et auront les identités suivantes pour la mission :
- Kate sera Coline Furrow
- Teresa sera Charline Hernandez
- Edward sera Clint Barrington
Elle explique que la cellule E était dépêchée à la suite de la disparition de Roger Graham qui tenait un blog sur un lieu particulier présentant une architecture impossible. Ce lieu n’est pas reconnaissable sur les photos et ils n’ont plus de contact avec la cellule E depuis 2 jours. Ils sont chargés de fouiller l’appartement de Graham afin de vérifier si la présence d’une aberration est confirmée, puis détruire toutes les preuves et éléments aberrants.
Elle leur fournit les éléments suivants :
- Une réservation d’hôtel à New York sur Park Avenue, dans Little Italy au nom d’Ethan Emeric.
- Adresse de Roger Graham
- Un plan de New York
- Des captures d’écran du site de Graham
Les agents ont décidé d’aller à l’appartement de Graham qui se trouve dans le Bronx en taxi. Après que Kate a essayé de faire du charme à un jeune du quartier avec comme résultat la fuite de toute personne dans la rue, ils s’aperçoivent que la porte de l’appartement est fracassée et que ce dernier a été fouillé. Après quelques recherches, ils trouvent la note suivante :
« Ils regardent les lignes, mais ne comprennent pas le message ».
En continuant de fouiller, ils finissent par tomber sur une petite vieille du nom de Madame Hurtigane qui leur explique que la police était très intéressée par le vieux tunnel mais qu’elle ne sait pas où il se trouve.
L’équipe va ensuite à l’hôtel, le personnel ne posant pas de questions et leur donnant la clef de la chambre.
Ils retrouvent alors l’unité centrale de Graham en pièces, des vêtements et deux boîtes de cartouches qu’ils vont récupérer ainsi qu’une note :
« Chaque visite est différente »
« Les silhouettes m’ont vu »
« J’ai senti cette odeur d’agrumes et de gingembre… »
« A demain Ange Malin »
« Les couloirs changent, mais le mystère reste »
« Ce chat étrange me fixe, son regard me perce »
« Je dois aller au fond, tenter de revoir les rues… »
« Quand je vais plus bas, je remonte en haut »
« Une simple porte amène à tant de merveilles »
« Je dois éviter ce fantôme pâle. Son visage figé me poursuit ! »
Ils découvrent ensuite un système de surveillance qui prouve que l’équipe E était là, il y a deux jours et une note qui indique une adresse à Brooklyn qui les oriente vers le canal.
Ils décident de rentrer à l’hôtel et de contacter le Delta Green pour leur faire un rapport avant de se rendre dans le mystérieux tunnel.
Ils arrivent face à la berge où est située l’entrée de l’égout. Au sol, une trace brunâtre, vraisemblablement du sang séché. Cela date de plus de deux jours. Il y a aussi une douille de 9 mm.
Au-dessus de l’entrée des égoût, quelque chose semble avoir été effacé et les barreaux qui composent la porte ont étaient à moitié défoncé. Les agents entrent dans le tunnel et remarque de nombreux tagues. Certains indiquent ACAB, d’autres des poèmes et d’autres des insultes. Au bout d’un moment il tombe sur un squat abandonné en trois petites parties, où sont entassés des affaires qui semblent être moisies. Ils trouvent une tache de sang séché au sol, près de ce qui semble être un petit couloir dissimulé derrière le lieu.
Il y a une échelle qui descend vers une cage d’escalier en métal éclairé de néons verts. Une fois arrivées en bas, des traces de sang maculent le sol et un film plastique estampillé FBI. L’architecture semble ancienne ici. En avançant, l’ambiance devient pesante et les murs changent régulièrement de texture. Plus loin les murs sont criblés d’impacts de balles. Après analyse, les agents déterminent que ce sont des balles de Kalachnikov. Une fresque représentant une tête de mort, une citation de Shakespeare « Nous sommes de l’étoffe dont les songes sont faits » les lettres M-a-d-a, une sorte de clé, un visage blanc ressemblant à Ghostface, des inscriptions indéchiffrables et des éclaboussures douteuses. Au vu du style, Teresa pense que l’œuvre a été faite par une seule personne.
En avançant plus loin, le couloir cesse d’être régulier. Le sens des murs, du plafond et du sol ne semble pas être lié à la logique, le style des murs passe de divers matériaux et thèmes sans logique et sans transition. Le plafond alterne entre sa taille classique de 3-4 mètres à des dimensions de plus de 10 mètres, pour parfois redescendre, au point de devoir s’accroupir pour avancer. Les impacts de balles sont partout et il y a même des traces d’un incendie.
Au bout du tunnel, il y a une pièce composée de multiples escaliers partant du sol pour arriver sur les murs et repartir au plafond de manière aléatoire. Il y a une sorte de piédestal en son centre, avec une surface plane légèrement inclinée d’où semble émaner un vide. Une fois, arrivés en ces lieux les agents commencent à avoir une irrépressible envie de comblé le vide du piédestal ce qui les perturbent beaucoup. Edward se met recroquevillé par terre, tandis que ses deux collègues veulent sortir de là. Non sans mal, les agents arrivent à remonter et sortir de l’obsédant tunnel. Une fois dehors ils commencèrent à se sentir mieux.
Alors qu’ils prennent un taxi pour aller se reposer à l’hôtel, ils sont arrêtés sur la route par deux Mercedes noires aux vitres teintées. Les agents sortent de la voiture et se retrouvent face d’une dizaine de personnes armées de Kalachnikovs qui leur demande de les suivre très gentiment.
Il arrive devant un ancien théâtre abandonné nommer le Loews King’s Theater. Les hommes armés les guident jusqu’à la scène où se trouve un bureau derrière lequel est assis un homme assez imposant portant un costume blanc. Il a une barbe grisonnante et un regard bleu acier. Des tatouages dépassent de son col et de ses manches. Les gardes font asseoir les agents et au bout de quelques minutes de silence. L’homme en costume comme à s’exprime en anglais avec un fort accent russe :
« Vous êtes en train d’enquêter sur la disparition de Monsieur Graham ? Vous faites partis du FBI ? »
« Avez-vous connaissance de l’endroit où se trouvent vos collègues ? »
« Ecoutez, je suis un simple homme d’affaires. Je ne cherche pas à faire de vagues, encore moins avec le gouvernement. Vous avez accueilli mon peuple, et nous savons respecter cela. Brooklyn est un lieu où nous investissons beaucoup. »
« Et justement, en tant qu’homme d’affaires, j’ai un deal avec vos collègues. Mais, aujourd’hui, malgrè mes effort, le deal n’a pas été satisfait. Et vos collègues se retrouvent endettés, or, pour nous, les dettes sont transmises à la famille. Et quelle plus grande famille que le FBI… ? »
« Voici un nouveau deal. Je vais vous envoyer dans un endroit. Là-bas, vous allez devoir trouver un objet très particulier, et le ramener. Celui-ci est extrêmement dangereux, vos collègues sont allés sur place, mais depuis, aucune nouvelle. L’endroit est surveillé et personne ne les a vu sortir. »
« Pour vous aider, voici une petite histoire. Vos collègues sont partis à la recherche de M.Graham, et sont tombés sur… l’égout. Cet égout a été nettoyé par mes hommes, car il avait été Sali par des…sous-hommes. Des hommes souillés par quelque chose. Nous avons donc nettoyé ce lieu. Mais mes hommes ont trouvé des objets de valeur. Ce qui est trouvé est gardé, c’est notre loi. L’un des objets est celui que vous devez retrouver. Cet objet n’était pas encore scellé dans une boîte. »
« Il a souillé plusieurs de mes hommes, les rendant fous et dangereux. Deux d’entre eux ont fui, et se sont cachés dans le lieu que vous allez visiter. Mes hommes ne veulent pas aller là-bas. Ils sont superstitieux, et ont renommé le lieu « Bezumiye » : la folie. Mais mon fils, mon petit Anton, lui, n’est pas superstitieux, et est entré dans la folie. Il n’est pas revenu. »
« C’est pour cela que vos collègues y sont allés…Et ne sont pas revenus. C’est là, que vous trouverez Graham et… comment vos collègues ont dit, déjà… Ah oui… « l’aberration. » la boîte est en bois, Orange, avec un dragon dessus. Très reconnaissable, comme celui sur mon cou. Quoi qu’il arrive, il ne faut jamais ouvrir la boîte. »
Il vous donne une adresse, située à un croisement, perdu dans Brooklyn. C’est un ancien commissariat abandonné depuis longtemps. Vous retournez à l’hôtel pour vous reposer.